Les bonnes adresses
Bien des objets, des produits et des matières finissent au dépotoir parce que nous ne savons pas quoi en faire. On vous propose ici de partager des adresses où on les récupère pour le recyclage ou le réemploi.
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Ce compteur affiche la production de déchets au Québec depuis le début de votre visite sur le site.
La production annuelle de déchets est d’environ 13 millions de tonnes par années.
Bien des objets, des produits et des matières finissent au dépotoir parce que nous ne savons pas quoi en faire. On vous propose ici de partager des adresses où on les récupère pour le recyclage ou le réemploi.
Si un objet, un produit ou une matière n’est pas un déchet ultime et s’il ne va pas dans le bac de récupération, il faut faire un effort pour savoir où aller le porter. Ici et là dans le site, nous vous avons donné des indices, des liens vers des sites qui permettent de faire la recherche. Voici quelques liens intéressants :
Un bien qui n’est plus utile dans une maison peut très bien faire le bonheur d’un autre ménage ou d’un autre individu qui n’aurait peut-être pas les ressources financières pour se le procurer. Le réemploi joue donc un rôle social important. D’un point de vue économique, il permet la création d’emplois, surtout dans le secteur de l’économie sociale et des organismes de charité. Finalement, le réemploi joue un rôle écologique dans la mesure où il prolonge le cycle de vie des biens réutilisés et évite, dans certains cas, l’achat d’un bien neuf. De très bonnes raisons pour ne pas jeter les biens encore utilisables à la poubelle.
Beaucoup de biens destinés au réemploi sont envoyés vers des pays en développement, c’est le cas d’énormes quantités de vêtements usagés. Même si cela représente un avantage certain pour les populations défavorisées de ces pays, cela entraine également des inconvénients car ces biens importés font concurrence à la production nationale et sont donc considérés comme du dumping. De plus, ce commerce repose sur des pratiques parfois douteuses qui enrichissent des entrepreneurs privés. Au Québec, les bacs de récupérations de vêtements usagés se sont multipliés au coin des rues, toutes les organisations qui les installent ne sont pas aussi charitables qu’on pourrait le croire. Encore une fois, agir de façon écologique et équitable demande beaucoup d’attention. Heureusement certaines municipalités adoptent des règlements sur ces bacs de récupération.
Téléphones cellulaires, ordinateurs, systèmes audio, vidéos, imprimantes … Au bureau et à la maison, ils se sont entassés dans un placard avant que je tombe sur le site de l’Association pour le recyclage des produits électroniques (ARPE) qui fournit la liste de tous les centres au Québec où on peut aller porter ces produits.
Vous habitez une vieille maison ou un vieil appartement à Montréal ? Vous avez besoin de changer une porte, une moulure, ou encore vous voulez ajouter un élément décoratif rétro à votre salon. Ou, au contraire vous rénovez et avez quelques portes en trop. Je vous recommande un endroit où faire de belles trouvailles.
J’ai été assez écolo pour garder mon vieux frigo très longtemps mais, sachant qu’il est très énergivore, je me suis finalement décidé à le changer (il faut dire qu’il était aussi moins efficace). En cherchant quoi en faire, j’ai appris qu’Hydro-Québec ramasse à domicile les frigidaires qui ont plus de 10 ans et les envoie au recyclage, en plus d’offrir 30$ à son propriétaire.
Comme j’ai travaillé de nombreuses années dans le domaine du développement international, je suis très sensible au travail des organismes qui viennent en aide aux populations des pays en développement. C’est sans doute pour ça que quand j’ai changé de vélo, j’ai pensé à aller porter mon vieux vélo chez Cyclonordsud, un organisme qui remet les vélos en état et les envoie à des communautés démunies. On vous demandera 15$ pour couvrir une partie des dépenses.
La première personne à soumettre une bonne adresse se méritera un DVD du film La PouBelle Province.